Le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur l'ont annoncé à la mi-journée de ce vendredi.
Sauf redémarrage de l'épidémie, le second tour des élections municipales aura lieu le 28 juin.
Après les services publics que nous faisons redémarrer peu à peu, après la réouverture progressive des espaces communs, place à un regain de la démocratie, en prenant toutes les précautions, tant pour la campagne que pour le scrutin.
Les diverses hypothèses pour l'achèvement du processus électoral avaient toutes des avantages et des inconvénients pour les nécessités de la santé publique et de l'exercice démocratique.
Il est bien que l'exécutif ait pris une décision. Je me refuse à l'évaluer à l'aune des intérêts ou des désavantages stratégiques qu'elle pourrait avoir pour le candidat que je suis.
Pour l'heure, la seule chose qui compte à mes yeux, c’est d’assumer ma fonction de maire. Avec nos fonctionnaires, dont je salue le dévouement et le sérieux, en lien avec les autorités de l'État, je veux garantir aux Seynois des conditions de vote sécurisées, comme nous le faisons pour les écoles, les crèches, les plages, et tous les services et lieux publics qui rouvrent progressivement.
Tout sera mis en place pour que nul n’ait à s’inquiéter pour sa santé lorsqu’il exercera son devoir et son droit de citoyen. Et pour ceux qui seraient malades, fragilisés après l'avoir été, ou porteurs du virus, il devront pouvoir, le plus simplement possible, confier à d'autres électeurs de confiance le soin de voter à leur place.
Je demande enfin aux candidats et leurs équipes de respecter scrupuleusement, dès à présent et pour les semaines à venir, les règles de prévention sanitaire lors de la campagne électorale.
Cette année, on se protègera en ne suivant pas à la lettre Jacques Chirac nous disant que « le contact humain est le véhicule essentiel de la démocratie », mais on aura, plus que jamais, le devoir de faire vivre ce droit républicain durement acquis par nos anciens. Il nous faut tous continuer à être des citoyens.
De nombreuses questions se posent à nos concitoyens sur le présent et l'avenir de la crise du coronavirus. Je le répète, nous sommes dans l'attente des consignes du gouvernement pour les traduire au concret dans notre commune et notre métropole.
Une mairie ne décide pas elle-même. Son rôle, en pareille circonstance, est d'appliquer les décisions prises par le gouvernement.
On devrait en savoir plus dans la semaine du 27 avril. Pour l'instant, au regard des informations dont les maires disposent, je me propose d'exposer ce qu'il en est, mais qui est susceptible d'évoluer au fur et à mesure que les conditions du « décloisonnement » seront annoncées par les services de l'État...
Bien que l'ensemble des informations sont normalement disponibles pour le grand public, j'apporte ma contribution via mon blog en présentant par ordre alphabétique, sujet par sujet, l'état de ce que nous savons à ce jour, pour répondre aux questionnements les plus fréquents qui nous parviennent.
Cette liste, de A à Z, pourra être complétée et mise à jour au fur et à mesure des recommandations, obligations et interdictions, qui seront données par l'État.
“Les jours heureux” ! Pour un maire d'une commune qui vit les inégalités, les références du Président de la République au programme protecteur du Conseil National de la Résistance, en matière sociale, éducative, économique, démocratique, d'indépendance nationale, et, au-delà, environnementale et de soutien aux pays pauvres, que nos ainés des années 1940 et de l'époque coloniale ne pouvaient envisager, laissent rêveur. Mais chiche pour l'après, oh combien !
L'urgence est pour l'heure à la précaution et aux contrôles, dont le Président a rappelé qu'ils ne peuvent souffrir de dérogation ou d'adaptation en fonction des publics, à la recherche pour les soins et les vaccins, et à la livraison d'équipements-barrières fournis à tous par la Nation, avant le début du “déconfinement progressif” annoncé pour le 11 mai. Le Président l'a dit, on en a pour des mois. Il faut donc que l'État accélère ses aides annoncées aux plus humbles et aux entreprises, à commencer par le commerce, le tourisme et l'industrie qui sont chez nous vitaux.
La démocratie républicaine ne doit pas non plus être oubliée. Fût-ce par des moyens appropriés à la prévention, le cadre général des mesures annoncées aurait gagné à résulter d'un débat parlementaire. Il n'est pas trop tard.
Et l'urgence ne doit pas plus justifier des mesures durables d'exception aux libertés individuelles et collectives. Faire respecter le confinement par l'information et la sanction est une chose, “pister” chacun par son smartphone au nom de la sécurité de tous serait dangereux. Tout comme l'est la suspension de l'obligation pour les opérateurs de téléphonie de transmettre aux maires le dossier d'information sur leurs modifications de réseaux, peut-être nécessaires à l'heure du télétravail, mais propices aux excès d'augmentation de puissance néfastes à la santé publique si certains “oubliaient” de revenir dessus à l'issue de la crise.
Le Président a enfin évoqué à plusieurs reprises les maires. Sa reconnaissance de notre rôle est importante. Nous ne nous déroberons pas plus demain qu'aujourd'hui. Mais aux inégalités sociales s'ajoutent les inégalités entre territoires, celles qui font, par exemple, que certaines communes peuvent acquérir beaucoup de masques et d'autres presque pas en attendant les dotations nationales. C'est aussi à l'État à compenser ces distorsions pour que le même service soit rendu à tous de façon égalitaire. Le président de notre métropole toulonnaise l'a rappelé à juste titre : “Il ne peut pas y avoir une République par commune.”
Le Président a conclu en disant “sachons nous réinventer”. Faisons-le, pour gagner en respect et en croissance des fondements républicains et démocratiques de notre société et de notre économie dans un contexte d'indépendance nationale à reconquérir. Puisqu'il les a évoqués, les “Jours heureux” offrent des pistes utiles...
J'étais à mille lieues d'imaginer pas que ma proposition aux minorités municipales de suivre avec la majorité la situation épidémique locale dans le cadre d'un « comité de suivi de la crise sanitaire » allait être qualifiée publiquement de « politique politicienne de bas étage » par un candidat à l'élection municipale.
Il s'agissait simplement de tenir au courant les élus de notre conseil municipal de la réalité de la situation, des initiatives de notre « cellule opérationnelle de crise » que font fonctionner avec un dévouement exceptionnel les cadres de notre mairie pour répondre aux innombrables besoins de notre population, et de recueillir avis et suggestions.
Les Seynois ont bien d'autres soucis en ce moment, mais je ne peux laisser tenir de tels propos sans y répondre avec précision. Et surtout avec calme...
Je ne vais pas regretter ma démarche, conforme à celle qui a toujours été la mienne de respect et d'association des oppositions, qui ont à plusieurs reprises depuis douze ans reconnu mon souci de démocratie interne, et encore moins revenir en arrière, mais j'invite d'emblée chacun à ne pas se tromper de temporalité.
La campagne électorale est suspendue. On ne sait pas quand se déroulera le deuxième tour, ni même s'il ne faudra pas tout recommencer avec l'annulation du premier. Et, si certains ne l'ont pas compris, qu'ils sachent que notre « comité de suivi de la crise sanitaire » ne sera pas le plateau télévisé d'un débat politique public. Je suis mobilisé à 100 % sur les problèmes du moment avec nos fonctionnaires, nos associations et nos volontaires. Nous avons besoin de sérénité.
LA RÉALITÉ DES CHOSES, POUR SE FAIRE UNE IDÉE DE MA « POLITIQUE DE BAS ÉTAGE »
Je dois tout de même, avant de clore définitivement le sujet, porter à la connaissance de tous l'ensemble des éléments factuels sur la démarche que j'ai imaginée.
1°) C'est à partir d'un échange avec une conseillère régionale et municipale élue de la liste UMP-UDI de 2014 que j'ai mûri l'idée d'une instance de suivi ouverte à toutes les sensibilités ;
2°) Pour ne pas troubler le travail considérable que conduisent les cadres et agents municipaux qui sont mobilisés 24 heures sur 24 pour gérer la situation de crise, j'ai tenu à m'assurer qu'ils pourraient consacrer un moment, environ hebdomadaire, à un échange avec les élus ;
3°)Pour tenir au courant les élus minoritaires et recueillir leurs avis, nous disposons de « commissions municipales » constituées à la proportionnelle des trois groupes du conseil municipal, seule instance en fonction depuis 2014 : 5 élus majoritaires de la gauche et de l'écologie, 1 élu de la liste Front National, et 1 élu de la liste UMP-UDI ; pour éviter toute discussion inutile, c'est une configuration similaire, qui ne souffre d'aucune critique depuis 2014, que j'ai imaginée pour notre « comité de suivi » ;
4°) Pour aller plus loin en participation des minorités que les « commissions municipales » obligatoires de par la Loi, j'ai décidé depuis 2014 d'ouvrir d'autres instances à des élus minoritaires, comme par exemple l'administration de notre office public d'HLM, « Terres du Sud Habitat » ; ceux-ci y ont répondu favorablement et s'y sont investis avec sérieux et constance ;
5°) Pas totalement ignorant des évolutions politiques au sein des deux groupes de la minorité que, comme tout le monde, j'ai vus se déchirer au cours du mandat qui s'achève, j'ai opté pour la simplicité afin de ne froisser personne ; en proposant à une élue de la liste UMP-UDI de 2014 et à un élu de la liste Front National de 2014, tous deux représentants les minorités au conseil d'administration de notre centre communal d'action sociale (CCAS), instance aujourd'hui en première ligne de la crise épidémique du covid-19, je ne pensais pas qu'il n'y aurait débat : depuis que les groupes minoritaires se sont scindés, personne ne m'a jamais demandé de revoir leurs représentations au sein du conseil du CCAS ;
6°) Pas non plus complètement aveugle quant au présent, même si je me suis refusé à prendre en considération les évolutions politiques des droites et des extrêmes-droites seynoises puisque seul compte pour moi le conseil municipal encore en fonction, j'ai tout de même voulu éviter d'ajouter de l'huile sur le feu entre les listes candidates de 2020 qui regroupent ces tendances ; ça tombait bien : l'élu de la liste du Front National de 2014 est désormais candidat en bonne place sur une liste de 2020, et l'élue de la liste UMP-UDI de 2014 est désormais à la tête d'une autre liste de 2020 ; tout le monde, pour moi, pouvait être satisfait ;
7°) En outre, ça tombait bien aussi, l'élu de la liste du Front National de 2014 est aussi conseiller départemental, ce qui peut être utile pour relayer les demandes que nous pourrions formuler pour obtenir une mobilisation du Département en appui à nos actions de gestion de la crise du coronavirus (par exemple : mobilisation du fonds de solidarité pour le logement [FSL] pour des familles en perte de revenus salariaux du fait de l'épidémie ayant du mal à régler leurs loyers, ou attribution de tablettes informatiques aux collégiens qui en sont dépourvus devant vivre leur scolarité à distance de leurs établissements) ; et l'élue de la liste UMP-UDI de 2014 est aussi conseillère régionale, ce qui peut être utile pour mobiliser pour La Seyne des compétences de la Région en cette période difficile (par exemple : appui aux entreprises en difficulté, ou aux associations impliquées dans le contrat de ville qui interviennent en accompagnement des publics fragiles) ;
8°) Enfin, le « comité de suivi de la crise sanitaire » n'a pas vocation à être une instance officielle, faute de pouvoir être constituée par une délibération du conseil municipal qui ne peut être réuni en cette période qu'en cas d'urgence, ses réunions ne seront pas des tribunes publiques et j'entends exiger de tous la discrétion sur les échanges qui s'y dérouleront ;
9°)Les deux élus minoritaires sollicités pour en faire partie ont répondu favorablement à ma proposition sans me faire part de quelque difficulté que ce soit de la part de leurs amis des listes sur lesquelles ils figurent pour l'élection de 2020 ;
10°) Bref, je pense avoir proposé une démarche qui pouvait satisfaire tout le monde, sauf peut-être le Rassemblement National (ex-FN), mais ce n'est pas ma faute si plus aucun des sept conseillers municipaux élus sous cette étiquette en 2014 n'est encore adhérent de ce parti.
ON PEUT SE DEMANDER QUI FAIT DE LA « POLITIQUE POLITICIENNE »
Ceci étant, je ne compte pas revenir sur ma décision de créer ce « comité de suivi ». Dans un but d'apaisement entre les membres de l'actuelle minorité de droite, j'ai même répondu favorablement à la demande, reçue ce jeudi, d'une élue de la liste UMP-UDI de 2014, également conseillère départementale et tête d'une des listes de 2020, d'intégrer aussi notre « comité de suivi ».
Et je ne reviendrai pas sur ma décision malgré le fait que la qualification de ma démarche de « politique politicienne de bas étage », que je viens de découvrir dans la presse, estle propos public d'un des colistiers de l'équipe 2020 de cette élue, et pas des moindres puisqu'en quatrième position, singulièrement discordant avec celui de l'élu municipal et départemental, en huitième position sur la même liste, que j'avais sollicité, et avec la demande courtoise que j'ai reçue de l'élue en question. J'ai un peu de mal à comprendre ces distorsions, mais ce ne sont pas mes affaires.
Par voie de conséquence de cette acceptation, si l'élue municipale et régionale évoquée au 1°) ci-dessus me sollicitait pour qu'un nouvel équilibre soit assuré entre leurs courants de pensée similaires en ajoutant à notre « comité de suivi » un(e) autre élu(e) sortant(e) figurant sur sa liste de 2020, j'aurais le devoir au nom de l'équité d'y répondre favorablement. Comme aux membres de la majorité, qui pourraient à bon droit estimer que les équilibres de représentativité sont rompus. Ça commencerait à faire beaucoup de monde pour organiser des échanges en vidéoconférence ou en téléconférence, ou, pire, en présence physique au regard du risque de contamination, mais je suis disposé à le tenter.
En tout état de cause, je suis heureusement surpris par cet élan de volonté d'implication. Et je clos le sujet, tant la gravité de la situation sanitaire m'appelle à d'autres tâches plus urgentes et importantes.
L'urgence sanitaire n'interdit pas de demeurer attentif à ce que la démocratie locale s'exerce, comme je m'y suis engagé depuis que je suis maire. C'est ainsi que, comme je l'ai fait, au-delà des exigences légales, pour divers sujets depuis douze ans, j'ai proposé que fonctionne un « comité communal de suivi de la crise sanitaire » constitué de toutes les sensibilités politiques siégeant à notre conseil municipal.
Au courriel que j'ai pris l'initiative de leur adresser ce mercredi matin, les élus communaux que j'ai sollicités pour en faire partie ont tous répondu favorablement. Je les en remercie.
Pendant que certains n'en manquent pas une pour critiquer sans fondement ou formuler des idées ou exigences irréalistes, en ayant probablement en ligne de mire une échéance électorale dont la campagne devrait pourtant passer au second plan, je m'emploie, avec notre équipe, nos fonctionnaires et de nombreux volontaires, à décliner à l'échelle locale les réponses aux besoins de prévention sanitaire et de traitement de situations sociales et économiques dramatiques qui découlent de l'épidémie de coronavirus.
Nul doute que les avis et expertises des uns et des autres, riches de leurs diversités, nous permettront de parfaire ce que nous mettons déjà en place à l'échelle seynoise.
Voici donc le courriel adressé à ceux de mes collègues élus municipaux, d'extrême-droite, de droite, et de la majorité des gauches et de l'écologie, que j'ai sollicités...
Ce « comité de suivi » pourra se réunir par visio-conférence ou en réunion physique, sous un format sécurisé, avec éloignement entre participants et gel hydroalcoolique, semblable à celui de la « cellule de crise » qui me permet de faire le point de la situation avec nos cadres dirigeant les divers dispositifs d'exception, à l'instar de celle qui s'est tenue ce mardi en salle du conseil municipal (ci-dessous)...
Au huitième jour d'un confinement qui devrait durer encore de nombreuses semaines, j'ai été amené à utiliser une nouvelle fois la communication par la vidéo pour diffuser de nouvelles informations à nos concitoyens.
J'y évoque l'ouverture du centre de consultation Covid-19 qui permet d'éviter l'engorgement des cabinets des médecins de ville et du service d'urgence de l'hôpital, la fermeture des marchés décidée par l'État, et l'affermissement des contrôles des déplacements des personnes..
Sandra Torres, conseillère municipale et régionale « Les Républicains », si je ne suis pas toujours d'accord avec elle sur tous les sujets, partage avec moi – et d'autres, heureusement – une vision de la vie politique fondée sur l'honnêteté intellectuelle et le respect des personnes.
Elle m'a prévenu de sa publication d'une « lettre ouverte » qu'elle m'a adressée à propos de l'épidémie de coronavirus et de sa gestion à La Seyne, que je publie ci-après.
Elle m'a donné l'occasion, au travers d'une autre « lettre ouverte » que je lui ai adressée en réponse, et que je publie également ci-après, de faire un point de la situation...
Sans autre commentaire, j'invite les visiteurs de mon blog à prendre connaissance de nos échanges en cliquant sur les images de nos deux « courriers ouverts »...
Comme j'en ai pris l'habitude depuis que, sauf pour certaines obligations liées à ma fonction, je suis en situation de « télé-maire », j'essaie d'apporter quelques informations, recommandations et suggestions via de petits films vidéo que je réalise depuis mon domicile.
Je rappelle dans celui-ci les contraintes qui s'imposent à nous quant à la forêt communale, aux plages et espaces verts de détente. J'invite aussi ceux qui veulent se rendre utiles auprès des plus fragiles à découvrir l'initiative de notre office d'HLM « Terres du Sud Habitat » de promouvoir le projet solidaire de l'association « Voisins solidaires », et à s'en emparer, y compris dans les résidences et lotissements qui ne sont pas du logement social.
Ils doivent drôlement télé-travailler, nos jeunes écoliers, collégiens et lycéens seynois, et leurs familles, parce qu'il aura fallu presque 24 heures pour que le réseau Internet, manifestement saturé par une explosion de données en transit sur la fibre, parvienne à charger le petit message vidéo que j'ai enregistré hier après-midi et qui est enfin mis en ligne sur notre site de campagne !
Un message que, avec Cécile Jourda et nos 47 colistiers, nous avons voulu délivrer pour annoncer la suspension de notre campagne, mais aussi pour nous inviter à réfléchir sur nos modes et fondements de vie...
L'évolution fulgurante du risque de contamination par le Covid-19, les fausses rumeurs qui me sont parvenues, et les désordres rencontrés aux accès à certains supermarchés du fait d'une inquiétude injustifiée quant aux approvisionnements, m'ont conduit, ce lundi, à communiquer par un message vidéo à nos concitoyens seynois.
Ce message a été enregistré depuis mon domicile, puisque, comme tout citoyen, je m'astreins à m'assigner à résidence pour éviter autant que possible les contacts humains, même si je passe évidemment tous les jours à la mairie et si je suis en contact permanent avec les autres élus, les institutions et les personnels communaux.