Avec Cécile Jourda et l'équipe « La Seyne 2020, l'énergie positive », nous partageons les sentiments de Samir Ben Mihoub et Patrice Bessone quant au débat entre candidats aux élections municipales que France 3 organise la semaine prochaine.
Nous l'avons signalé aux organisateurs : il n'est pas normal que, quels qu'aient été les résultats d'un sondage réalisé par l'Ifop, ces deux candidats ne soient pas conviés à cet échange prévu par la chaine publique de télévision.
Il ne peut être invoqué de contingences matérielles d'espace insuffisant pour accueillir les huit candidats. D'autres lieux que les studios marseillais de France Télévisions, s'ils sont trop exigus, existent pour la tenue de ce moment. En atteste un autre débat qui sera organisé à La Seyne entre tous les candidats par la chaine de web-télé Info 83.
Montesquieu, philosophe des Lumières, notait en 1748 que « l'amour de la démocratie est celui de l'égalité ». Notre service public d'information, attaché à nos fondements républicains, doit réviser sa position.
Porté par une cinquantaine d'organisations, dont certaines sont des partenaires habituels et historiques de la ville de La Seyne, le « Pacte du pouvoir de vivre » décline 10 propositions pour les élections municipales.
Toutes correspondent soit à des axes de réalisations ou d'actions qui ont guidé les choix de l'équipe municipale sortante, soit à des orientations de la nouvelle équipe « La Seyne 2020, l'énergie positive ».
Les organisations suggèrent aux citoyens que les dix mesures qu'elles affichent servent de guide à une lecture des programmes des candidats pour examiner en quoi leurs projets respectifs répondent – ou non – aux urgences sociales, environnementales et démocratiques.
On peut découvrir ces dix axes importants pour la vie locale en cliquant ICI ou sur l'image illustrant cet article.
Notre équipe est persuadée que, passé au crible, son projet coche toutes les cases du « Pacte ». Qu'en est-il des programmes de ses concurrents ?...
En Provence, on aurait dit « avertadamènt dei fachs » (vérification des faits). Mais, peu importe, l'important est que ça ait l'effet escompté. On entend et on lit tellement de bêtises et contrevérités par les temps qui courent, comme si la course au plus bonimenteur était lancée, qu'il est indispensable de rétablir la réalité des faits.
C'est ce à quoi s'emploie notre jeune colistier Jimmy Coste en réalisant de courtes vidéos très claires et explicites, qui opposent des éléments tangibles et vérifiables aux contrevérités, extrapolations et approximations qui fusent de toutes parts pour dénigrer le bilan en prolongement duquel s'appuie le projet de l'équipe « La Seyne 2020, l'énergie positive ».
Mais assez d'écrit. Place aux images, pour les deux premiers épisodes de « fact-checking » qui nous sont proposés. Regardez-les, ils ne durent que 2 minutes 30. Et n'hésitez pas à les faire essaimer autour de vous...
Comme on pouvait le craindre, ceux qui s'acharnent depuis des années contre notre projet de cinémas, d'hôtels, de commerces de bouche et de loisirs dans « l'Atelier mécanique » de nos anciens chantiers navals, non contents d'avoir déjà fait perdre un temps précieux au programme en ayant tour à tour saisi le tribunal administratif de Toulon, puis la Cour administrative d'appel de Marseille, lesquels ont confirmé en tous points la validité du permis de construire du projet, ont déposé un nouveau recours auprès du Conseil d'État, la plus haute juridiction administrative du pays.
Je livre aux visiteurs de mon blog le communiqué que j'ai adressé à la presse après cette funeste nouvelle. Fort heureusement, les opérateurs n'entendent pas désarmer et m'ont confirmé leur volonté aussi intacte que la mienne de mener à bien ce projet. Mais on peut, à juste raison, se demander quel est le but de ces acharnés qui semblent ne pas vouloir que les Seynois bénéficient enfin de ce qui leur est dû. Et s'il n'y a pas des intérêts contraires à la Ville à la manœuvre pour inciter à un tel entêtement nuisible à notre territoire...
Il circule beaucoup d'informations étranges en ce moment. Des contrevérités, des propos peu amènes, des projets irréalistes, légalement, techniquement ou financièrement, des propositions aux allures novatrices mais existant déjà. Nous n'entrerons pas dans ce jeu malsain pour la démocratie.
L'équipe des gauches, de l'écologie et du régionalisme « La Seyne 2020, l'énergie positive », dont 50% des membres sont des citoyens non-encartés et que j'anime avec Cécile Jourda, qui est membre depuis près de onze ans du parti écologiste le plus connu dans notre pays et qui a été élue en 2008 pour représenter ce mouvement dans notre équipe sortante, a publié un document où elle expose le travail accompli et les orientations à venir qu'elle propose pour La Seyne dans la métropole toulonnaise.
Chaque foyer seynois va recevoir ce « journal » dans sa boîte aux lettres dans les prochains jours. Mais je propose d'ores et déjà aux visiteurs de ce blog d'en prendre connaissance, en cliquant sur l'image ci-dessous afin de le feuilleter.
La lecture de ce document suffira-t-elle à rétablir des vérités et à ne pas laisser planer des doutes ? Peut-être pas, tant il est à craindre que, plus l'échéance du scrutin approchera, plus certains s'emploieront à redoubler d'imagination, espiègle dans le meilleur des cas, malfaisante dans le pire, pour attiser la suspicion ou diffuser des fausses nouvelles.
Le débat qu'a organisé le quotidien Var-matin le 10 février a mis en évidence, tantôt une méconnaissance des sujets, tantôt une volonté de dénigrer ou de jouer les camelots de foire en vendant du rêve. Il est sûrement instructif de prendre connaissance des remarques amicales et souvent légères et teintées d'humour qu'ont faites des colistiers et soutiens de « La Seyne 2020, l'énergie positive » sur chacun des thèmes abordés par les uns et les autres au cours du débat. Cliquez sur les documents ci-dessous pour agrandir chaque document thématique...
Suite à la publication d'un sondage réalisé par l'Ifop pour le compte du quotidien Var-matin, les membres de la liste « La Seyne 2020, l'énergie positive », que je conduis avec l'écologiste Cécile Jourda, ont lancé un appel au bon sens des adhérents d'Europe Écologie Les Verts (EELV).
L'enjeu est bien sûr, avec une droite républicaine fragilisée par son éclatement en cinq listes concurrentes, de pouvoir assumer la responsabilité d'un rempart conforté face à l'extrême-droite, mais surtout d'offrir la possibilité aux écologistes historiques de poursuivre l'œuvre, qu'ils mènent depuis 2008 avec les autres sensibilités de l'écologie et des gauches et les Seynois, vers une ville durable, verte, active et solidaire face aux défis de l'évolution climatique...
Un sondage n'est qu'un sondage. Celui-là, certes avec toutes les incertitudes d'une consultation qui a ses marges d'erreur, place la liste « La Seyne 2020, l'énergie positive » en tête des intentions de vote et donc en situation de grande responsabilité pour que La Seyne ne connaisse aucune atteinte à la démocratie républicaine.
Les intentions de vote cumulées en faveur des deux projets entre lesquels se répartissent ceux qui, depuis 2008, composent ensemble l'actuelle majorité municipale, atteignent 40%, soit le score obtenu au deuxième tour en 2014. Les Seynois semblent donc demeurer attachés aux idées qu'ils promeuvent, d'une ville durable, d'un service public égalitaire et solidaire, d'un soutien à une économie active. Mais ces 40% d'intentions de vote se distribuent hélas sur deux listes : 24% pour la liste Vuillemot-Jourda et 16% pour la liste Patentreger.
Le sondage indique par ailleurs que, si une seule des deux listes se maintenait au 2ème tour, par fusion ou retrait, menée par Marc Vuillemot, les deux tiers des voix du 1er tour de la liste Luc Patentreger lui seraient acquises, et la victoire serait au rendez-vous avec 40% de suffrages. Dans le cas d'un maintien de la liste de Luc Patentreger, mathématiquement, ce serait l'échec pour les deux listes, en faveur de l'extrême-droite. Et, malheureusement, Luc Patentreger, a déclaré qu'il « n'y aurait aucune fusion ». Mais ni Luc Patentreger ni aucun de ses colistiers ne sont membres d'EE-Les Verts. Leurs positions personnelles engagent-t-elle le parti qui leur accorde son soutien ?
Les Seynois attachés aux valeurs de solidarité et d'humanisme et à une ville durable apprécieraient sûrement que les écologistes d'EE-LesVerts révisent leur position et rejoignent autour de Cécile Jourda, adhérente de leur parti depuis 10 ans, et du républicain-socialiste Marc Vuillemot, le projet réaliste, unitaire, écologiste et solidaire porté par une équipe composée pour moitié de citoyens soutenus par six sensibilités des gauches, de quatre sensibilités écologistes, des régionalistes, et d'autant de citoyens actifs pour leur ville mais non « encartés ». Ou au moins qu'EE-Les Verts lui manifeste son soutien.
Les membres d'EE-Les Verts ont pris part depuis 2008 à la gestion communale des enjeux de développement durable qui valent aujourd’hui à La Seyne d'être reconnue pour sa détermination sur ceux-ci. Ils affirment d'ailleurs encore leur solidarité avec la majorité actuelle dont ils font toujours partie. Pourtant, à part certains d'entre eux, ils ont opté pour un soutien à une autre équipe au projet très similaire, mais en disant ne pas vouloir y participer. De son côté, le chef de file de cette autre équipe accepte ce soutien d'EE-Les Verts dont il affiche le logo, mais sans admettre d'adhérents de celui-ci parmi ses colistiers. De grâce, ne décevons pas les Seynois avec des postures peu lisibles et très fragilisantes pour eux et pour leur cohésion !
« La Seyne 2020, l'énergie positive » promeut un projet solidaire et écologiste. En attestent son action depuis 12 ans couronnée de nombreux labels, et ses engagements pour l'avenir à mettre en œuvre le « Pacte pour la transition » proposé par 60 organisations, la charte « Une ville pour les animaux » proposée par L214-Éthique et animaux, ou encore les « 9 chantiers de la démarche “zéro déchet, zéro gaspillage” » proposée par ZeroWaste-France. C'est ce que les Seynois attendent.
Au regard de la situation révélée par le sondage, même si elle comporte des marges d'erreur, l'heure est, pour l'ensemble des porteurs d'espoirs d'humanisme solidaire et d'écologie territoriale, à se serrer les coudes au plus tôt, pas à se tirer dans les pattes. Pour l'avenir soutenable et égalitaire des Seynois et de leur ville.
L'équipe « La Seyne 2020, l'énergie positive » – 18 février 2020
La presse et les réseaux sociaux ont largement relaté la soirée de ce lundi, à la Bourse du travail, au cours de laquelle j'ai présenté l'équipe « La Seyne 2020, l'énergie positive » qui proposera son projet aux Seynois. Une équipe diverse à bien des points de vue, composée, comme l'a relevé Var-matin, « de femmes et d'hommes bien connus dans la deuxième ville du Var ».
Je livre ci-dessous une petite synthèse de la composition de la liste, puis les noms des 49 candidats, et, pour ceux qui me l'ont réclamé, je propose en fin d'article un lien vers le texte, en pdf, du propos que j'ai tenu à l'occasion de la présentation...
Pour lire le discours que j'ai prononcé à cette occasion, cliquez ICI
Et voici quelques photos de cette très agréable soirée...
C'est à la Bourse du Travail, avenue Gambetta, que sera présentée, ce lundi 3 février à 18 heures, l'équipe que l'écologiste Cécile Jourda et moi aurons l'honneur d'animer.
La loi fait obligation aux maires de convoquer une réunion du conseil municipal au moins chaque trimestre. À La Seyne, nous sommes très largement respectueux de cette disposition légale. Lorsque se sera tenue la dernière réunion du mandat de 2014 à 2020, il y aura eu 64 séances de notre assemblée communale au cours des six années, soit plus de 2,5 fois le nombre imposé par le Législateur, et donc 10 à 11 par an, presque une par mois.
Et, il faut s'en satisfaire, malgré ces sollicitations fréquentes, on a enregistré, si l'on exclut évidemment la future ultime réunion, un taux moyen de présence des élus locaux de 82 %. Regardons un peu de plus près...
Il ne s'agit pas de blâmer ceux qui ont été plus absents que d'autres. Pour un certain nombre de moins assidus, les raisons relèvent des circonstances de la vie, des maladies, des obligations familiales et des contraintes professionnelles, surtout pour les élus qui sont travailleurs indépendants ou salariés exerçant dans le privé qui, contrairement aux fonctionnaires, ne bénéficient pas – et c'est une vraie injustice – de certains avantages légaux d'autorisations d'absence et d'aménagements horaires.
Cette réalité a concerné chacun des trois groupes politiques du conseil municipal. La moyenne des présences du groupe majoritaire de la gauche et de l'écologie s'établit à 85 %. Celle des membres du groupe minoritaire du Front National est de 78 %. Et le groupe minoritaire de la droite UDI-Les Républicains affiche un taux moyen de présence de 72 %.
Parmi les 10 membres du conseil municipal les moins assidus (moins de 72 % de présence moyenne), on trouve trois élus de la gauche et de l'écologie (8,6 % du groupe), dont aucun adjoint au maire, trois élus du groupe Front National (42,8 % du groupe), et quatre élus du groupe de la droite UDI-Les Républicains (57,1 % du groupe), dont, si l'on exclut leur tête de liste Philippe Vitel, démissionnaire dès 2014 après la cinquième séance du mandat, les deuxième et troisième de leur liste, ce qui, sans être méchant, fait tout de même un peu mauvais effet...
Parmi les 15 élus les plus assidus, qui ont été présents à plus de 92 % des séances, on compte 13 élus de la gauche et de l'écologie (37,1 % de leur groupe), un élu du groupe Front National (14,3 % du groupe), en l'occurence son chef de file, et un élu du groupe de la droite UDI-Les Républicains (14,3 % du groupe), en la personne de Romain Vincent.
La palme, s'il devait en être décernée une à ceux qui n'ont manqué aucune des séances, il faudrait la remettre à Jean-Jacques Taurines, du groupe de la gauche et de l'écologie, jamais absent depuis son installation en cours de mandat suite à une démission, et à Damien Guttierez, tête de liste du Front National, qui a pris part à chacune des 63 séances depuis 2014.
Quant à moi-même, qui suis le dernier des trois élus ayant été présents à 100 % des séances, je ne mérite aucune louange, puisque c'est moi qui convoque les réunions... évidemment aux dates où je suis disponible !
Pour attester de la réalité des chiffres, je mets en ligne le détail des présences aux réunions du conseil municipal (arrêtées à la réunion de janvier 2020). Cliquez sur l'image ci-dessous pour y accéder...
Hyères, Toulon et Fréjus devancent La Seyne au classement varois des « villes et villages de France où il fait bon vivre ». Mais, alors qu'on compte 153 communes dans notre département, obtenir la place de 4ème donne un peu de baume au cœur. Cette nouvelle encourageante a été publiée par une association nationale, présidée par Thierry Saussez, visant à promouvoir « les territoires dont l'action est la plus équilibrée entre les différentes attentes des Français »...
Les 34841 communes de métropole sont ainsi analysées chaque année suivant huit critères : qualité de vie, sécurité, transports, commerces et services, solidarité, sports et loisirs, éducation.
L'enquête révèle par ailleurs que La Seyne se classe 199ème au niveau national sur près de 35.000 villes et villages de la France métropolitaine.
La Seyne était déjà classée par le quotidien « Le Figaro » dans le top 50 des « villes de France où il fait bon prendre sa retraite », se plaçant 3ème du Var derrière Hyères et Saint-Raphaël au palmarès 2019.
Ne nous endormons pour autant pas sur nos lauriers. Poursuivons nos efforts en matière d'environnement urbain et naturel, d'économie et d'emploi, de services publics.
Et puis, soyons honnêtes, tout ne dépend pas de la seule action municipale ou métropolitaine. Félicitons l'ensemble des artisans de la qualité urbaine : services de l'État et des collectivités autres que locales, entreprises, associations et citoyens eux-mêmes. C'est donc une satisfaction à partager largement.