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Les chiffres parleront[1] d'eux-mêmes.

Par rapport aux règles antérieures,

avec les évolutions du Plan local d'urbanisme de 2010, 2015 et 2019...

 

√   + 8 % D'ESPACES NATURELS

 

√  + 40 % DE TERRES AGRICOLES

 

√  – 65 % DE SURFACES D'ULTRA-URBANISATION [2]

 

√  – 78 % DE SITES D'URBANISATION FUTURE [3]

 

√  – 50 % DE DROITS À BÂTIR SUR LES ZONES LES PLUS CONSTRUCTIBLES [4]

 

√  AU MOINS 40 % DE SURFACES NON IMPERMÉABLISÉES

IMPOSÉES SUR LES PARCELLES

 

√  89 % DU TERRITOIRE COMMUNAL ARBORÉ, 29 % EN MILIEU URBAIN

 

 

 

 

 

[1]– comparaisons en hectares de territoire entre 2006 et 2019 après adoption de notre 3ème modification du plan local d'urbanisme (PLU) qui a été votée au Conseil métropolitain de TPM en décembre 2019

[2]  – zones “UA” où, avant les révisions et modifications du PLU, il était possible de construire sur 100 % de l'assise foncière, sans retrait par rapport aux limites séparatives, sans limitation de hauteur, et avec une seule place de stationnement par logement

 

[3]– zones “AU” d'urbanisation future

 

[4]  – mêmes zones “UA” que pour la note 2 ci-dessus : après évolutions du PLU, retrait de 5 mètres des limites, hauteur limitée à 5 puis 4 niveaux, deux places de garage au-delà de 70 m2

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Publié par Marc Vuillemot