14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 15:45

http://de.img.v4.skyrock.net/de7/flicdanslame/pics/566824915_small.jpgAvec Hubert Falco, sénateur-maire de Toulon, et plusieurs élus seynois, nous avons répondu ce lundi à l'invitation de Messieurs le Préfet du Var et le Directeur de la Sécurité Publique du Var de rendre visite, au commissariat de La Beaucaire, à Toulon, à la nouvelle "Brigade Spécialisée de Terrain" de la police nationale qui intervient sur une partie des quartiers toulonnais et seynois d'habitat social (seul le quartier Berthe est concerné pour La Seyne).

Une occasion de faire connaître mon sentiment sur la police de proximité...

 

"Mon hésitation à être des vôtres aujourd’hui n’aura pas duré dix secondes. Ceux qui me connaissent savent quelle haute idée j’ai du rôle d’un élu de la République.

"Pourtant, ces mêmes qui me connaissent savent combien est réelle mon inquiétude quant à certaines dispositions d’aujourd’hui en matière de sécurité publique, de justice, et du rôle du maire dans tout cela.

"Cette inquiétude est à la hauteur de celle que j’ai quant à nos capacités publiques de freiner la délinquance et de combattre les sentiments d’insécurité de mes concitoyens.

"Je préfère le dire tout de go. Je suis dubitatif sur la pertinence du dispositif qui est mis en place depuis quelques semaines, mais je suis convaincu de la nécessité de redoubler d’efforts.

"Et, quelle qu’elle soit, cette Brigade Spécialisée de Terrain fait partie de ces efforts. Ne serait-ce que parce que, pour mes concitoyens les plus humbles, qui se font parfois insulter ou menacer dans des halls d’immeubles, qui ont peur de sortir de chez eux, qui craignent par peur de représailles de réprimander les auteurs d’incivilités, parfois très jeunes, pour ces Seynois-là, voir dans leur environnement immédiat une présence de policiers nationaux en tenue est une absolue nécessité. 

"Je suis dubitatif, car, malgré des annonces récurrentes de nouveaux outils, tous les indicateurs qui concernent la délinquance du quotidien s’aggravent : hausse des cambriolages contre les particuliers, hausse des vols dans les lieux publics, hausse des atteintes à l’intégrité physique. Depuis 2004, ces dernières ont bondi de 16 %.

"Dubitatif, car les policiers et les gendarmes sont toujours moins nombreux ; depuis 2007, M. Hortefeux a supprimé 10.792 emplois. 2.882 postes sont détruits dans le seul budget de 2011... ce budget qui consacre une diminution de l’investissement de 6,5% pour la gendarmerie nationale et de 28,3% pour la police nationale... alors même que les conditions de travail des fonctionnaires de police et de gendarmerie sont déjà très difficiles. Et j’espère que les 14 policiers de notre BST ne sont pas prélevés sur des moyens déjà existants !

"Dubitatif aussi, parce que je ne crois pas que la seule répression soit la réponse la mieux adaptée. Je crois au travail partenarial des acteurs de la prévention, naturelle comme spécialisée, du tissu associatif, de l’École, des transports publics, de la police municipale, de la police nationale, de la Justice, notamment au sein de notre Conseil seynois de Sécurité et de Prévention de la Délinquance, dont chacun vante autant le travail de fond que la réactivité lorsqu’elle s’avère nécessaire.

"Ce n’est pas là, vous le savez, une vision dogmatique d’un élu de gauche. C’est bien un député de la majorité, M. Benisti, qui a indiqué il y a quelques jours au Premier Ministre qu’il faut « refuser une logique du tout sécuritaire qui s’est avérée inefficace » et qui a ajouté « Il n’y a pas de secret. La solution pour éradiquer la délinquance, c’est d’élaborer une vraie politique de prévention sur le terrain avec tous ses acteurs », autour du « chef d’orchestre » qu’est le maire.

"Oui, chacun doit pouvoir agir à sa place, en fonction des missions qui sont les siennes, sans empiéter sur les compétences des autres, mais avec les moyens de la complémentarité, les moyens de l’échange dans le respect de la déontologie de chaque métier, et les moyens de l’exercice central de son travail.

"Et ça ne me dérange pas qu’un dispositif un peu « musclé » prenne sa place dans une mosaïque d’interventions multiples et équilibrées, depuis la prévention jusqu’à la répression.

"Mais je suis dubitatif, tout de même, car ça ne marche que si cet équilibre des missions est garanti. Or les moyens de la prévention spécialisée baissent, avec 5 Équivalents Temps Plein perdus en deux ans à La Seyne. Les moyens de l’École et de la formation professionnelle régressent. Les moyens des associations et des entreprises d’insertion diminuent, avec 3 d’entre elles, et non des moindres, qui ont dû mettre la clef sous la porte en deux ans dans ma ville. Et les moyens de ma commune ne me laissent pas la marge de manœuvre nécessaire pour soutenir suffisamment les actions de l’éducation et de la prévention.

"Nous le savons tous, les économies du court terme génèrent parfois de grosses dépenses à long terme et, surtout, ont un effet ravageur sur le tissu social et la construction d’une société juste et solidaire. Et c’est là qu’est le terreau de la délinquance.

"Dubitatif, enfin, vis à vis d’une stigmatisation accentuée de certains quartiers. Pour ce qui est de Berthe, je ne voudrais pas que le message délivré à mes citoyens qui vivent ce quartier renforce leurs sentiments d’être des bêtes curieuses ou des cobayes d’un espace urbain délité, ce qui les dévaloriserait encore plus.

"Nous effectuons aujourd’hui, avec notre Office d’HLM « Terres du Sud Habitat » et l’aide de l’État et des collectivités, un énorme travail de rénovation et d’amélioration de la qualité de vie et des relations entre les gens. Nous travaillons sur le sentiment d’appartenance des résidents à la ville toute entière. Il ne faudrait pas que de ce dispositif vienne réinstaller des frontières dans le ressenti de nos habitants.

"Vous le voyez, j’ai bien des raisons de douter. Mais, comme je le suis lorsque j’implique à fond La Seyne dans les instances de pilotage des « nouveaux pouvoirs du maire », avec la Police et la Justice notamment, comme je le suis en ayant relancé, après l’avoir dépoussiérée, la convention qui lie notre police municipale à la police nationale, je suis disposé à m’investir totalement dans le suivi de ce nouveau dispositif. Et je serai notamment attentif, au terme de la première année, à son évaluation, telle que l’a prévue la Loi, souhaitant que notre CLSPD y soit pleinement associé.

"Donc, tous mes vœux de réussite vont aux policières et policiers volontaires qui ont cette mission à accomplir.

 "Les résidents de nos quartiers populaires sont toujours demandeurs d’une présence visible des policiers. Je sais qu’ils l’accueillent bien, à la hauteur de l’engagement républicain de ces fonctionnaires, car, au fond, leur mission s’inscrit dans le cadre d’un objectif majeur fixé par le préambule de la Constitution de la France : « assurer l'égalité devant la loi de tous les citoyens »."


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Publié par Marc Vuillemot - dans Civisme - prévention et sécurité
27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 08:45

http://www.stress-info.org/wp-content/uploads/2008/09/bruit.jpgÇa mérite, je crois, d'être souligné et porté à la connaissance des visiteurs de mon blog.

Cet été, en effet, le nombre d'interventions des fonctionnaires de notre police municipale pour des nuisances sonores s'est élevé à 142, soit 15% de plus qu'au cours de la saison estivale 2009. À peine 7% des nuisances résultent des établissements diffusant de la musique. La grande majorité concerne donc des propriétés privées ou de petits attroupements.

Quoi qu'il en soit, aucun procès-verbal n'a dû été dressé, les nuisances ayant toutes cessé sur le champ.

Bravo donc aux policiers municipaux qui ont su faire prendre conscience des gênes à ceux qui en étaient la cause, en privilégiant la pédagogie plutôt que la répression.

Bravo aux commerçants qui appliquent plutôt bien la charte de la qualité sonore qu'ils ont signée.

Et bravo à mes concitoyens et visiteurs qui ont pris conscience avec intelligence de l'importance des efforts de chacun pour le "vivre ensemble".

Il reste à poursuivre les efforts de tous pour que l'on parvienne à inverser la tendance et que les besoins d'interventions diminuent en 2011. Même en période estivale propice à la fête, on doit pouvoir y arriver. Chiche ?

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Publié par Marc Vuillemot - dans Civisme - prévention et sécurité
24 septembre 2010 5 24 /09 /septembre /2010 21:06

http://medias.lepost.fr/ill/2009/02/12/h-20-1421204-1234418871.JPGOn peut dire que je suis en colère. Oh, je ne suis pas seul. Les maires des grandes villes – et ceux des villes moyennes comme ceux des villes populaires – sont en colère.

Après les remarques déplacées du ministre de l'Industrie stigmatisant certains maires, selon lui coupables de ne pas assurer la sécurité dans leurs communes, et proposant à leur encontre des sanctions du type de celles prévues par la loi SRU s'agissant du nombre de logements sociaux, s'est tenue à Paris, à l'initiative de l'Association des Maires des Grandes Villes de France, une "Conférence des Villes" sur le thème "Cohésion sociale et urbaine" qui a connu une affluence record jamais égalée : plus de 1300 participants, dont... trois élus de La Seyne : Jocelyne Léon, adjointe à la prévention et la sécurité, Annick Le Gal, conseillère municipale aux jumelages, et moi.

À cette occasion, toutes tendances politiques confondues, nous avons adopté un manifeste intitulé "Les maires montent au créneau" dans lequel nous demandons une action concertée entre l'Etat et les collectivités locales pour lutter contre le délitement du pacte social.

L'initiative était partagée par l'association des maires "Ville et Banlieue", du Conseil d'Administration de laquelle je suis membre, et dont les adhérents, maires de communes, très pauvres pour la plupart, accueillant des quartiers populaires en lourde difficulté, s’inquiètent de la tournure des mesures prévues dans une circulaire du 22 juillet dernier, soumettant leur action locale dans le domaine de la sécurité à l’ingérence d’un contrôle de l’Etat. Cette circulaire vise à faire la différence entre "les Maires qui parlent et les Maires qui agissent" (dixit le ministre de l'Intérieur). Un bilan devait être remis par les Préfets le 15 septembre. La circulaire détaillait les actions municipales à évaluer : nombre de mesures de signalement, point sur la vidéoprotection, mesures de suivi des familles, etc.

Nous avons rappelé que nos concitoyens considèrent, comme c'est d'ailleurs inscrit dans la Loi, que l’Etat est le premier responsable de la sécurité, comme le confirment les résultats d'un sondage TNS Sofres/AMGVF, qui montre que 49 % des Français jugent que c'est la Police Nationale et la Gendarmerie qui peuvent agir le plus efficacement contre l’insécurité, loin devant les municipalités qui sont citées par un peu moins d’un quart des Français (24%).

Mais nous avons aussi affirmé que la lutte contre l'insécurité, préoccupation de tous les élus et de tous les citoyens, nécessite une réponse globale, car « il n’existe pas de lutte efficace contre l’insécurité sans politiques publiques de solidarité, de développement économique, d’insertion et d’emploi, d’habitat et de transports, d’éducation et de culture ».

Le Président de la République, le Gouvernement et leurs relais locaux se trompent en ressassant sur le thème de l'insécurité, le lien délinquance-immigration, et les maires, les quartiers populaires des villes, voire les villes entières, montrés du doigt.

Les Français ne sont pas dupes. Un sondage SOFRES du mois de septembre montre bien que, pour eux, les causes principales de l'insécurité sont de trois ordres : la situation économique et le chômage, les mauvaises conditions de vie dans certains quartiers, la perte de repères familiaux amenant au manque d'autorité des parents. Les problèmes d'intégration des immigrés, comme l'inefficacité de la police et de la justice n'apparaissent que très loin dans les causes citées.

À La Seyne, dans tous les axes déclinés, nous avons montré notre volonté d'efforts. Nous exigeons donc de l'État qu'il fasse de même, comme il sait le faire pour le PRU, pour les autres axes qui concourent à une cohésion urbaine et sociale. Et que les autres collectivités et l'intercommunalité nous accompagnent La Seyne sur ces axes : la police, les quartiers anciens dégradés, l'habitat, la mobilité, l'éducation et la prévention, l'économie et l'emploi.

Le rapport ville pauvres – villes riches en matière de revenu moyen est de 1 à 2, celui de l'impôt "collectable" est le même, celui de l'effort fiscal est de 1 à 9 ! Et le service rendu est exactement l'inverse : de 2 à 1...

La solidarité nationale, régionale, départementale et intercommunale s'impose.

Et, évidemment, je m'associe pleinement à l'ensemble de mes collègues maires pour réclamer haut et fort une sorte de "Grenelle de la sécurité" où l'État, les collectivités et les associations pourront dialoguer pour, enfin, rechercher ensemble les voies pour avancer en matière de prévention et de lutte contre l'insécurité et pour la cohésion urbaine et sociale.  

 

> Le manifeste "Les maires montent au créneau"

> Ma déclinaison locale (La Seyne et l'agglomération) du "manifeste"


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Publié par Marc Vuillemot - dans Civisme - prévention et sécurité
20 juillet 2010 2 20 /07 /juillet /2010 05:14

http://i1.trekearth.com/photos/5162/view_of_la_seyne-sur-mer_fr.jpgIl ne manque pas d'air, M. Lefèbvre, porte-parole de l'UMP, quand il dit, s'agissant des violences qui agitent ces jours-ci la banlieue grenobloise et en réponse à une proposition de l'Association des Grandes Villes de France d'organiser en septembre une conférence nationale sur la violence urbaine : "On n'a pas besoin de colloques, mais d'actions" !

Mais qu'ont-ils fait, en la matière, ses amis du gouvernement et de la majorité parlementaire ? Sinon avoir voté 17 lois depuis 2002 tout en supprimant la police de proximité, réduit de 9000 le nombre de policiers et de gendarmes, mis à mal le tissu associatif facteur de régulation du climat social, diminué les moyens des services de prévention de la délinquance, des actions d'insertion par l'économique, et des établissements scolaires des Zones d'Éducation Prioritaire...

Nous le savons bien, dans nos quartiers populaires seynois, combien est fragile l'équilibre de vie.

Les riverains des voies du futur transport en commun en site propre, à Berthe et au Prairial, où s'exercent, dans un vacarme permanent, des "fangios en herbe" sur des deux roues et des quads, ne comprennent pas que les forces de l'ordre ne puissent ou ne veuillent intervenir.

Ils ne comprennent pas que les squatteurs, s'introduisant par effraction dans les logements HLM en attente de location, ne puissent être délogés, alors que des milliers de foyers attendent patiemment, certains depuis près de 10 ans, que leur soit attribué un appartement.

Ils ne comprennent pas que l'on ne puisse obtenir de la force publique qu'elle ramène à la raison quelques petits groupes de personnes désoeuvrées qui, sous leurs fenêtres ou dans leurs cages d'escaliers, pourrissent leur tranquillité et les insultent quand ils les invitent au calme.

Ils ne comprennent pas de ne plus croiser les équipes de policiers de proximité qui arpentaient leurs cités, connaissaient les habitants, rassuraient, "faisaient la morale" à quelques individus un peu "limite", avertissaient, sanctionnaient s'il le fallait.

Ils ne comprennent pas que des associations organisatrices d'activités d'animation éducative, de soutien et d'accompagnement, d'aide à l'insertion vers l'emploi, offertes aux enfants, aux adolescents, aux jeunes, aux mamans, aux anciens, soient contraintes de mettre la clef sous la porte faute de financements publics.

Ils ne comprennent pas que le nombre d'éducateurs de rue de la prévention spécialisée de la délinquance soit en diminution, ni que les "tout petits" de deux ans ne puissent plus être scolarisés dans les écoles maternelles publiques.

Ils ne comprennent pas que, depuis le début de l'été, les renforts de police qui s'installent habituellement en saison estivale dans les cités littorales, et que j'ai réclamés à la préfecture qui a indiqué avoir pris en compte ma demande, ne soient, pour l'instant, que déployés sur les communes voisines de Six-Fours, Bandol ou Sanary.

Ils me demandent à quoi servent les pouvoirs de police dont dispose un maire, s'il n'a pas les moyens de les exercer.

Alors, oui, M. Lefèbvre a raison. Il faut des actions plutôt que des colloques. Mais qu'attendent-ils donc, ses collègues du gouvernement, pour s'y mettre ?

Nos quartiers populaires d'habitat social, notre centre ancien paupérisé, et même nos quartiers réputés plus paisibles, n'en peuvent plus d'attendre. À quoi sert la rénovation urbaine dans laquelle nous investissons tant de ressources publiques si la simple équité républicaine ne s'applique pas aux territoires victimes de la crise économique et sociale ?

Les parlotes, séminaires, colloques, conférences et autres symposiums ne sont pas ma tasse de thé. Mais je participerai à cette conférence sur le thème de la cohésion urbaine et sociale initiée par l'Association des Grandes Villes de France. Pour porter la parole de mon peuple seynois si délaissé, pour partager avec d'autres maires, des acteurs de la société civile et du monde de l'entreprise, nos inquiétudes et nos idées, et pour appeler d'une voix forte à un "Grenelle" de la sécurité publique.

Non, M. Lefèbvre, ça ne peut plus durer.

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Publié par Marc Vuillemot - dans Civisme - prévention et sécurité
19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 17:37
photo-2-copie-2.jpgSi ça pouvait obliger certains à tourner sept fois leur langue dans leur bouche avant de jouer les vierges effarouchées se plaignant du fait que, depuis que la Gauche est en charge des affaires municipales de La Seyne, elle se serait désintéressée de la tranquillité de ses habitants et que la ville serait plongée dans l'insécurité, on aurait au moins gagné ça.

Oui, Jocelyne Léon, notre adjointe à la sécurité, la prévention et l'action socio-éducative, et les policiers municipaux, peuvent être fiers d'avoir reçu, mardi dernier dans les salons du Sénat, l'écharpe d'or de la sécurité routière au titre des villes de plus de 50.000 habitants. Cette distinction annuelle est décernée à une seule commune française par catégorie démographique (cette année, exceptionnellement, La Seyne et Paris n'ont pu être départagées et ont été toutes deux honorées).

On le doit au travail accompli, sous l'autorité de Patrick Ducheix, chef intérimaire de notre police communale, de Pierre Poggi et Daniel Marongui, ses adjoints, par le brigadier Jean-Carl Scheel, dont la mission est entièrement dédiée, depuis un an, à la conduite d'opérations d'éducation et de prévention à la sécurité routière, notamment en direction des enfants et des jeunes, avec, bien sûr, l'appui de l'ensemble des agents de leur service.

Plutôt qu'un long propos, j'invite, pour en savoir plus, les visiteurs de ce blog à consulter la page relatant cette expérience sur le site de la très officielle Maison de la Sécurité Routière du Var qui dépend du Ministère chargé de l'équipement.

Aux félicitations de Gérard Larcher, président du Sénat, de Pierre-Yves Collombat, sénateur du Var, qui nous a accueillis à la Haute Assemblée, de Gérard Pottier, président de la Prévention Routière, j'ajoute les miennes, très sincères, à ces fonctionnaires qui mettent en oeuvre avec enthousiasme et dévouement notre politique municipale de prévention.

(sur la photo, de droite à gauche : Jean-Car Scheel, Pierre-Yves Collombat, Jocelyne Léon, Pierre Poggi, et moi-même)
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Publié par Marc Vuillemot - dans Civisme - prévention et sécurité
19 septembre 2009 6 19 /09 /septembre /2009 17:01

Angélique Mazoyer, conseillère municipale chargée de la lutte contre les discriminations, a fait adopter par le Conseil municipal le principe de l'adhésion de la ville à l'association "Elu(e)s contre les violences faites aux femmes".

Ce n'est pas un gadget, mais la concrétisation de l'action qu'Angélique mène avec ardeur.

Très bien.


> Le site de l'association ECVF
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