11 janvier 2010 1 11 /01 /janvier /2010 06:37
http://solimages.arkasdogs.com/Six-Fours-La-Seyne/Paysages/toulon/neige13.jpgFin d'année 2009 sur les chapeaux de roues. Début de l'an neuf non moins actif. Accès internet mystérieusement en souffrance pendant plusieurs jours. Résultat... ce blog au point mort pendant près de trois semaines ! Que mes visiteurs réguliers (et les autres aussi) me pardonnent.

Nous avons cette année opté pour des cérémonies de voeux "sans grand tralala", avec de modestes buffets confectionnés avec brio par les personnels communaux, mais au plus près des résidents de nos quartiers, avec un rendez-vous en centre-ville, à la Bourse du Travail, un autre aux Sablettes, sous le chapiteau de la Circoscène, et un troisième à Berthe, au centre culturel Henri-Tisot. Sans compter la traditionnelle rencontre avec les employés communaux, venus nombreux vendredi à la salle Maurice-Baquet et les voeux de Toulon Provence Méditerranée à l'Hôtel de l'Agglomération à Toulon.

C'est de mise en cette période de début d'année. On fait le point. Et on se relance. Je vous livre ci-après mes propos que j'ai tenus à nos concitoyens, corps constitués, acteurs économiques et associatifs, et membres des Conseils des Quartiers. Ce que j'ai exposé aux fonctionnaires communaux fera l'objet d'un autre article.

Je suis très heureux de me trouver parmi vous aujourd'hui.


Et c'est bien cela, le premier but d'une cérémonie de vœux : être ensemble, échanger des nouvelles, tenter de partir ensemble d'un bon pied vers la nouvelle année.

http://www.lecyclo.com/leblog/wp-content/uploads/2009/10/ultimatum-climatique-copenhague-2009.jpgUN CONTEXTE GÉNÉRAL DIFFICILE...

Oh, ce n'est pas que le contexte national et international nous incitent à un optimisme béat. Les menaces qui pèsent sur la planète n'ont d'égal que l'incapacité des grandes nations à rompre avec tous les égoïsmes. La fracture entre pauvres et riches ne cesse de se creuser, à l'échelle nationale comme dans le monde. Et le résultat récent du sommet de l'ONU sur le climat, à Copenhague, ne sera pas à inscrire au palmarès des grands actes politiques des pays les plus riches.

Les solutions à la crise ne sont manifestement pas trouvées dans la solidarité, dans un meilleur partage des richesses, dans un nouvel essor donné aux services publics. Les attaques contre ceux-ci sont incessantes, inédites, profondes, alors même que le G20 et le Président de la République lui-même semblaient vouloir remettre à la mode l'intervention de l'État comme signal d'un regain de souci de l'intérêt général. Ça n'aura pas duré longtemps.

Ici même, en France, on nous parle de la Nation, mais à la seule aune de ce que serait... son identité.

Où en est-on aujourd'hui des grandes initiatives publiques, solidaires, nationales, lancées après la Libération dans l'élan du Conseil National de la Résistance ?

Au lieu de sauvegarder et développer la sphère publique de la Nation, porteuse des valeurs d'une identité forgée à ces feux de la République que bien des peuples du Monde enviaient encore naguère à notre France, ce sont des pans entiers de l'activité humaine qui se distancient de l'Égalité et de la Fraternité, et sont soumis à la seule règle du marché, si tant est qu'on puisse parler de "règle" en ce domaine : c'est la santé, le logement, la culture, l'éducation, l'énergie et tant d'autres...

Et pour nos collectivités locales ? Nous assistons, hélas, à un projet législatif de retour en arrière sans précédent avec une réforme annoncée qui augure de moins de Liberté, par moins de moyens avec la disparition de cette taxe professionnelle qui risque de n'être compensée que par... un effort accru demandé aux citoyens.

J'arrête là mon énumération du contexte dans lequel s'ouvre l'année nouvelle.

NOTRE VILLE EN COMMUN...

http://www.printempsdelaconvivialite.com/photo/537572-656624.jpgEt puis, aujourd'hui, comme pour toute l'année qui s'annonce, mon message n'est certainement pas que nous nous en tenions à un constat amer et impuissant, mais plutôt une analyse lucide qui nous oriente vers l'action. Donc vers l'avenir.

Pour notre ville, le tableau est, comme partout, contrasté, avec ses points noirs et ses raisons d'espérer.

Nous commençons donc l'année par un moment de convivialité. Convivialité, au sens fort et premier de "vivre ensemble". D'ici, à Berthe, jusqu'à à Saint-Elme, nous avons cette ville en commun. Nous la vivons tous de manière différente, mais c'est elle qui nous rassemble.

Cette année, nous avons voulu rapprocher de nos quartiers ces rencontres de Nouvel An. Parce que, au moment où on peut craindre, justement, que les décisions politiques s'éloignent de plus en plus des citoyens, il faut, à mon sens, rapprocher ceux qui se sont vu confier cette charge du pouvoir des citoyens que vous êtes.

Vous le lisez derrière moi : "2010 sera l'affaire de tous".

Pourquoi avons-nous choisi cette phrase pour résumer le sens de ces vœux ?

http://farm4.static.flickr.com/3001/3020921944_c409f5fdd6.jpgLA DÉMOCRATIE LOCALE

Parce que nous ne croyons pas que la gestion d'une ville, d'une collectivité, au sens de projet collectif, puisse se faire sans ses citoyens. Être contraint de rappeler ce principe dans une démocratie est un peu étrange en soi. Mais, hélas, la co-gestion, la gestion avec les gens, sans nous dédouaner de nos responsabilités d'élus, cela va de moins en moins de soi.

C'est tout le sens de cette expérience des Conseils de quartiers qui a pris son rythme en 2009. La Démocratie Locale était l'un de nos engagements premiers à traduire dans les faits.

Je ne vais pas vous en infliger un bilan exhaustif, mais je voudrais partager avec vous une appréciation. Je pense qu'on peut toutes et tous en convenir, la démarche est intéressante. La manière dont nous pratiquons est-elle toujours satisfaisante ? Là, certainement pas. Mettre en place définitivement des Conseils de quartiers dignes de ce nom, pleinement efficaces, qui trouvent parfaitement leurs marques, en complément des structures représentatives existantes - et primordiales – que sont les CIL et les associations... tout ça n'est pas une mince affaire.

Je compte sur vous pour faire vivre ces conseils de quartiers, mais aussi les critiquer, de façon constructive, comme vous savez le faire, dans leurs buts comme dans leurs méthodes.

Je sais que le travail entrepris dans ces instances commence à porter ses fruits. Différentes commissions où vous vous impliquez concrètement traitent ici ou là de sécurité, d'animation, d'aménagements, de transports, de dénomination des voies... et j'en passe. Il faut continuer.

Les premiers pas sont déjà la démonstration de l'engouement de nombre de Seynoises et de Seynois à œuvrer pour leur ville et pour faire évoluer leurs conditions de vie. C'est pour cela qu'il ne faut pas que ce soient des heures en l’air, alors que celles et ceux qui y participent le font en plus de tous leurs engagements, familiaux, professionnels, associatifs, bénévoles…

Je souhaite donc que ce que chacun de ceux qui s'y impliquent apporte à la ville soit l’objet de toutes les attentions des élus et des services.

De notre côté, nous mettrons dans quelques jours en place un nouveau service appelé "Gestion de Proximité Seynoise". Cette gestion urbaine de proximité, ce n'est rien d'autre qu'une structure nouvelle, au sein de nos services municipaux, qui devra jouer un rôle de coordination, d'information, de veille, d'alerte, afin que, peu à peu, les problèmes qui se posent dans les quartiers de la ville, au quotidien, soient gérés avec réactivité, en temps et en heure. À vous, dans les semaines et les mois qui viennent, de nous dire si cela avance. Le chantier est immense. Mais, croyez-le, je m'en soucie quotidiennement.

Et la gestion ensemble, c'est aussi vous tenir informés des grands dossiers qui structurent notre ville. Aujourd'hui en est l'occasion. Je ne voudrais en éluder aucun, mais je me tiendrai à ce qui me paraît être l'essentiel des préoccupations dont vous me faites part tous les jours.

http://medias.explor.immovision.com/photos/p0/12125/271vm01.jpgLA MER, D'ABORD...

Vous le savez, le 22 décembre dernier, nous avons octroyé un nouveau délai de trois mois au délégataire de la réalisation et de l'exploitation de notre port de plaisance pour le lancement du chantier. Nous avons voulu donner une chance supplémentaire à un projet qui est essentiel pour le développement de notre ville.

Parce que la mer, avec le pôle de compétitivité mondial de Brégaillon, qui est dédié à l'exploitation scientifique, technologique, et à la valorisation économique de ses ressources, avec l'économie balnéaire, de la plaisance et du nautisme, avec l'accueil des yachts de haute plaisance que nous sommes les premiers à envisager comme un vrai potentiel pour la ville, avec l'accueil des croisières – 63 escales déjà assurées en 2010 pour des paquebots parmi les plus grands du Monde, la mer, c'est clair, c'est notre avenir.

C'est l'une des raisons pour lesquelles nous n'avons pas hésité à jouer du symbole et faire revenir l'arrivée à La Seyne du Tour de France à la Voile. Nice était pressentie. C'est finalement le succès de l'an passé qui a convaincu les organisateurs de revenir en 2010. Et cette fois, mes collègues de TPM ont compris l'enjeu, et participeront à l'accueil de cette compétition qui renforce le rayonnement, non seulement de notre commune, mais de toute la rade de Toulon.


http://terresacree.org/images/embouteillages4.jpgLE STATIONNEMENT URBAIN.
..

Là encore, la délégation de service public pour 32 ans à un opérateur privé est apparue à d'autres comme une panacée. On a vu qu'il n'en était rien. L'entreprise a unilatéralement fait interrompre le chantier des Esplageolles. Sans nous en avertir. Nous l'avons fait constater par huissier. Aujourd'hui, nous sommes dans la dernière phase d'une négociation avec elle pour que notre ville sorte de ce blocage par le haut et au plus grand bénéfice de ses habitants et des acteurs de son centre ville. Car c'est bien là l'enjeu : faire décoller notre centre ancien et, au-delà, l'ensemble de la commune.

Sur ce sujet, s'il nous arrive d'être avares en informations, c'est qu'il n'est pas question de dévoiler les détails d'une négociation pour ne pas courir le risque de la faire échouer. Je sais que chacun le comprendra. Mais, sachez-le, c'est tous les jours que nous travaillons à ce dossier majeur.

http://www.ademe.fr/htdocs/publications/lettre/05/images/collectivites01.jpgLES PROJETS STRUCTURANTS...

Et, pareillement, nous travaillons jour après jour à des dossiers tels que le Casino, qui assurerait des retombées financières pour la ville et la prise en charge de la construction d'une salle de spectacles et de conférence dont nous avons tant besoin pour notre activité culturelle et sociale, mais que nous n'avons pas les moyens de réaliser par nous-mêmes.

Quant à l'aménagement de l'atelier mécanique en espace commercial, de loisirs, de culture et de mémoire, il suivra la construction du port de plaisance. Dans tous les cas, ce sont là des projets structurants sur lesquels nous ne transigerons pas. Ils doivent aboutir.

http://offensivesocialiste.files.wordpress.com/2009/11/080401_servicepublic1.jpgET LES SERVICES PUBLICS...

Comment ne pas les penser dans ce qui fait le cœur de l’identité de notre pays, au moment même où l’on s’acharne à démontrer avec force qu’ils sont inopérants avant de mieux les vendre morceaux par morceaux.

Nous ne voulons pas d’un service assuré seulement pour ceux qui auraient les moyens d'y accéder. La démonstration de la qualité d’un service public, le même pour chacun sur l’ensemble d’un territoire, n'est plus à faire. C’est pourquoi, forts de plus de 6000 signatures recueillies à ce jour pour la sauvegarde de la maternité à La Seyne, nous agirons le 15 et le 21 janvier prochains, en accord, notamment, avec les syndicats hospitaliers, en appelant aussi tous les signataires, et tous nos concitoyens conscients de l'importance de l'enjeu, à se joindre à nous.

Nous ne défendons là pas un privilège, loin de là. Nous résistons à l’idée que l’État consente à se dessaisir ainsi de ce qui fait le socle de notre République : un édifice de solidarité. Car on ne peut pas demander à des populations d'accepter de ne pas bénéficier de réponses de proximité à leurs besoins. D'autant moins que c'est souvent vital, au-delà du service rendu, pour la vie économique et sociale du quartier ou de la commune où s'exerce ce service.

http://img.over-blog.com/190x280/0/22/48/96/republique.jpgL'ÉQUITÉ RÉPUBLICAINE

Les conditions sont dures. Nous en mesurons chaque jour les réalités et nous sommes loin d'être tirés d'affaire. Mais la situation est plus rude encore lorsque des décisions sont prises en fonction de logiques politiciennes qui s'expriment au mépris de l'intérêt général et de l'équité républicaine.

C'est ce qui s'est passé, j'en suis convaincu, pour le projet de rénovation de notre centre ancien, rejeté par le Ministère en charge du Logement malgré les excellentes évaluations qu'il avait obtenues de la part de la commission chargée de son instruction, le plaçant parmi les dossiers les plus prioritaires et les mieux construits, loin devant d'autres qui, eux, ont été retenus et financés.

C'est injuste mais nous ne renoncerons pas. Et cette façon de procéder est exactement ce que nous, nous ne ferons pas. Car ce n’est pas l’opinion que je me fais de l'action politique. Nous, les citoyens seynois, nous ne devons pas oublier qui nous sommes, forts de nos diversités, d’opinions, d’origines, forts de notre liberté d’expression, forts d’une laïcité préservant un espace public respectueux de chacun d’entre nous, et assurant par ailleurs, bien sûr, une sphère privée garante des libertés, tant de croyances que d'opinions. Et nos concitoyens, dans leur diversité, ont exprimé une volonté de changement vers, simplement, plus de considération et d'égalité, et j’espère y répondre chaque jour.

http://www.gedinne.be/assets/images/urbanisme.jpgUN URBANISME MAÎTRISÉ

C'est d'ailleurs dans cet esprit de respect de notre peuple seynois qu'a été engagée la révision de notre Plan Local d'Urbanisme qui va, enfin, aboutir en 2010. C'est un rude et long chantier qui était une nécessité pour préserver la qualité de vie de chacun, autant que l'avenir et l'attractivité de notre ville.

Nous disposerons dans quelques mois de prescriptions d'urbanisme qui nous permettront d'avancer à notre rythme, de respecter l'environnement et les modes de vie de chaque quartier, et d'assurer les réalisations des équipements nécessaires à une évolution maîtrisée de La Seyne. Il n'aura certes pas été possible de faire machine arrière sur ce qui était déjà engagé et nous tentons, même si c'est souvent difficile, d'amortir les impacts des mutations urbaines imposées antérieurement à certains de nos quartiers.

LA RÉNOVATION URBAINE

Et c'est toujours dans cette même approche de solidarité communale que les résidents de notre grand quartier Berthe, plus du quart de notre population, voient la ville poursuivre l'effort engagé pour sa rénovation. Nous tenons le rythme des constructions des 850 logements neufs, couplées aux démolitions d'autant d'habitations les plus indignes. Nous engageons ces prochaines semaines la réhabilitation de 2500 autres logements. Nous poursuivons l'aménagement d'espaces de vie "résidentialisés" et d'équipements collectifs, à l'image de la future médiathèque dont les travaux vont commencer sous peu, de la rénovation complète de l'espace culturel Tisot, ou de la crèche du "Petit Monde". Et, pour autant, il reste que des milliers de foyers, et pas seulement parmi les plus humbles, demeurent en quête d'un logement accessible au regard de leurs revenus, pour ceux qui en disposent, et a fortiori s'ils n'ont pas – ou plus - accès au travail.

http://www.residence-chene-or.com/pix/tofslideactu8_big.jpgTOUS LES QUARTIERS

On me dit parfois que les maires se penchent trop sur le Nord et le centre de la commune. C'est vrai que les difficultés sociales s'y concentrent et que les efforts doivent y être constants. Mais la solidarité communale, c'est toute la ville. Et c'est pourquoi nous ne ménageons pas nos efforts, malgré les difficultés, avec le Conseil général et l'agglomération, pour faire avancer le projet de rénovation de la corniche de Tamaris, des ports de Saint-Elme et de la Petite Mer, la réalisation de nouvelles lignes maritimes de transports en commun rapprochant notre Sud de notre centre, ou l'animation sociale avec le Centre de Loisirs du Parc des Sablettes qui est loin d'être exploité comme il le faudrait.

http://www.mediaslibres.com/tribune/public/societe/vivre-ensemble.jpgLA VIE SOCIALE

Parce que, dans toute la ville, chacun, jeune ou ancien, a droit à son épanouissement et à la prévention de l'enfermement. C'est pour cela, d'autant plus, qu'il nous faut soutenir l'effort que mènent, inlassablement, les associations de la commune. Pour le citoyen que je suis, formé à l'activité publique au creuset de la vie associative, ce fut un vrai crève-cœur d'avoir dû être, en 2009, le premier maire depuis la Libération à se résigner à diminuer le budget dédié aux actions des associations, dans une proportion identique à la réduction du train de vie des services de la commune (ce qui explique, d'ailleurs, la modestie de nos réceptions de voeux).

Je veux redire aujourd'hui combien l'engagement associatif au service des autres, dans le sport, dans la culture, dans l'animation en faveur de la jeunesse ou des anciens, pour la mémoire, pour l'environnement et le cadre de vie, pour la santé ou la solidarité, demeure pour nous, aux côtés des services publics, la deuxième clé de voûte indispensable à l'épanouissement et au maintien d'un lien social gravement distendu par la société d'aujourd'hui.

Il est à craindre que les temps s'assombrissent pour les associations si la réforme en projet des institutions ôte aux Départements et aux Régions les compétences qui les autorisent aujourd'hui à soutenir leurs actions. Je veux dire aux dirigeants associatifs tous nos encouragements et toute notre détermination à rechercher avec eux les voies de la mutualisation des ressources pour leur permettre de continuer leurs activités essentielles.

Voilà...

Être plus à l’écoute, poursuivre une participation ouverte aux habitants dans tous les quartiers,
servir l'intérêt général, maintenir la solidarité et la prise en compte de tous, valoriser une ville et la rendre attractive et vivante, accompagner les acteurs économiques et sociaux, développer des projets structurants et bénéfiques pour la population, autant de pistes utiles sur lesquelles nous voulons continuer d'avancer.

Je formule le vœu que la solidarité prenne le pas sur la charité, que l'action collective, citoyenne, prenne le pas sur le repliement égoïste sur l'individu. Nous mettons l'accent sur la démocratie locale, sur la transparence dans la gestion et la priorité à l'intérêt public. Nous assainissons les finances pour ne pas hypothéquer l'avenir, et, au contraire, garder intact l'espoir.

Il y a du travail, beaucoup de travail à faire pour que La Seyne, dans son environnement intercommunautaire, prenne enfin son envol.

2010 sera une année charnière sur bien des dossiers. Je vous souhaite, je nous souhaite à toutes et tous, de l'énergie et de la détermination !

J'adresse à tous mes vœux de santé et de bonheur !






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Publié par Marc Vuillemot - dans Idées et politique générale