Mon accès Internet est de nouveau disponible. Les visiteurs habituels de mon blog me pardonneront mon silence d’une grosse semaine. Bien des choses, utiles pour La Seyne, se sont pourtant déroulées ces derniers jours, sur lesquelles il me faut revenir.
Au nombre d’entre elles, le vote du conseil municipal, ce jeudi, m’autorisant, à l’unanimité, majorité de gauche et minorité de droite confondues, à avancer vers la concrétisation de notre projet de reconversion de cet édifice symbolique majeur de nos anciens chantiers navals qu'est l'ancien "atelier mécanique" encore dénommé "atelier des turbines". Un projet de qualité a été retenu, dont le chantier doit démarrer en 2014 pour s’achever en 2016.
Mais, hélas, des faiseurs de politique à la petite semaine y trouvent à redire. Ça augure mal de la crédibilité qu’ils ont à se bâtir auprès de mes concitoyens. C’est d’ailleurs ce qu’ont relevé mes camarades socialistes, suite aux remarques infondées de ces inconscients des enjeux seynois, dans une réponse qu’ils ont transmise à Var-matin, après que ce quotidien a relayé des critiques nullement étayées de ces concurrents.
Sous le titre « Aux Toulonnais venus "sauver" La Seyne, le PS répond que travail sérieux, patient et réaliste, vaut mieux que bouffonnerie et pathétisme », un communiqué a été publié, dans lequel beaucoup de mes concitoyens, pas engagés dans l’activité publique mais simplement républicains et attachés au devenir de leur commune, m’ont dit aujourd’hui se retrouver, et que je livre ci-après...
« Les Seynois, comme les investisseurs et les architectes, indique le texte, apprécieront la charge gratuite de M. Vitel, l’un des prétendants toulonnais à la fonction de maire de La Seyne, invitant à « revoir la copie » du projet de reconversion de l’atelier mécanique, et estimant qu’il ne serait pas assez « haut de gamme ». Hors coût de dépollution, ça ne représentera que la bagatelle de... 42 millions d’euros d’investis sur le projet ! Qui est-il, ce monsieur, pour se poser, sans rien connaître du dossier, en donneur de leçons de bon goût ? Quel équipement de prestige a-t-il contribué à réaliser en près de 20 ans dans son canton toulonnais des Routes, Barbès et Saint-Roch ? Est-ce qu'il faut en effet entendre par « haut de gamme » cette parfaite réussite en terme d'intégration urbaine et de dynamique de commerce d’un centre ancien qu'est le Centre Mayol, à laquelle MM. Vitel et Colin ont participé aux côtés du maire UDF de Toulon de l'époque ? »
Je livrerai dans un prochain article la suite de cette communication. Et mes commentaires sur le sujet...