Voici le courrier que m'a adressé Philippe Pradal, maire de Nice, après le message que je lui avais fait parvenir au nom de notre population, le 15 juillet dernier.
Cliquez sur la lettre ci-dessous pour l'agrandir.
Les visiteurs de mon blog y liront les remerciements qu'il nous témoigne pour notre compassion, mais aussi son doute, que je comprends au regard de ce que sa ville a vécu, quant à l'efficience des « seules armes de la paix » pour lutter contre la barbarie.
Sans naïveté ni angélisme, et avec un infini respect pour son point de vue, je demeure toutefois persuadé que ce ne peut pas être tout ou rien ; la lutte contre les causes profondes des maux de notre siècle doit demeurer à l'ordre du jour, ici et dans le Monde.